Nicolas Bouzou est un économiste et essayiste français, directeur de la société d’études économiques Asterès et maître de conférences à Sciences po. Ses travaux portent sur la croissance, la politique économique, l’organisation territoriale et la santé. En 2006, Nicolas a fondé le cabinet de conseil Asterès, à l’origine d’études économiques... Read more
Nicolas Bouzou est un économiste et essayiste français, directeur de la société d’études économiques Asterès et maître de conférences à Sciences po.
Ses travaux portent sur la croissance, la politique économique, l’organisation territoriale et la santé.
En 2006, Nicolas a fondé le cabinet de conseil Asterès, à l’origine d’études économiques destinées aux acteurs publics et aux entreprises.
Il a également créé le Cercle de Belém qui rassemble des intellectuels européens libéraux et progressistes. Il est directeur d’études au sein du MBA Law & Management de l’Université de Paris II Assas.
Nicolas Bouzou écrit régulièrement dans la presse française (Le Figaro, Les Echos, L’Express, L’Opinion). En 2017, il a été nommé Chef économiste du Comité Franco-Allemand des Industries Culturelles et Créatives. Il a siégé au Conseil d’Analyse de la Société auprès du Premier Ministre (2010-2011).
Il donne une centaine de conférences par an, en France et dans le reste de l’Europe, et a publié une dizaine de livres, dont « Pourquoi la lucidité habite à l’étranger ? » (2015).
Cet ouvrage économique, historique et philosophique sous forme de carnet de route, a été écrit à la suite d’un voyage à travers l’Europe. En s’immergeant dans les cultures et les sociétés voisines en Europe, il cherche à pointer les dysfonctionnements présents en France.
Il interroge notamment les questions relatives à la situation du chômage, de l’éducation, ou encore de l’entrepreneuriat dans l’hexagone.
Dans son dernier ouvrage publié en 2017, « Le travail est l’avenir de l’homme », Nicolas Bouzou aborde notamment la peur du chômage causée par l’omniprésence de la robotique et de l’intelligence artificielle. Selon l’essayiste, le travail humain ne va pas disparaître, il va muter. Nicolas Bouzou affirme que « les pays les plus robotisés, comme le Danemark, l’Allemagne ou la Corée du Sud, sont d’ailleurs les plus proches du plein-emploi ».