Simon Fraser vient de passer 5 ans en tant que secrétaire permanent au ministère des affaires étrangères (FCO) britanniques et directeur du service diplomatique du Royaume-Uni. Cela vient couronner une carrière de fonctionnaire au cours de laquelle il a également servi en tant que secrétaire permanent au département du commerce... Read more
Simon Fraser vient de passer 5 ans en tant que secrétaire permanent au ministère des affaires étrangères (FCO) britanniques et directeur du service diplomatique du Royaume-Uni. Cela vient couronner une carrière de fonctionnaire au cours de laquelle il a également servi en tant que secrétaire permanent au département du commerce du Royaume-Uni et a occupé les fonctions de directeur du personnel du commissaire européen pour le commerce Peter Mandelson à Bruxelles.
Simon Fraser a navigué parmi les hautes sphères de la diplomatie, du commerce, de l’économie politique et de l’Union Européenne. C’est un spécialiste dès lors qu’il s’agit d’opérer en tant qu’interface entre les gouvernements et les entreprises.
Pendant 5 ans, il a fait parti du Conseil National de Sécurité du Royaume-Uni et, parlant couramment arabe, passe les premières années de sa carrière dans les ambassades britanniques d’Irak et de Syrie.
Simon Fraser est passionné par les défis de leadership que posent les organisations complexes. Au FCO, il était responsable d’un réseau globale de 14.000 personnes réparties dans 168 pays. Grâce à son ‘programme de réforme pour l’excellence diplomatique’, orienté sur le réseau, les gens et la politique, il a restauré la confiance de l’institution. Il a ouvert ou modernisé 15 ambassades et créé 300 nouveaux postes diplomatiques dans les marchés émergents, tout en réduisant de 25% les frais de fonctionnement du FCO et réalisant le plus haut score d’engagement du personnel de tous les principaux départements du gouvernement britannique.
En 2009, Simon dirige l’un des programmes les plus complexes de changement opérationnel voulu par Whitehall. Il s’agissait de fusionner deux départements pour en créer un nouveau, ‘Business Innovation and Skills, doté d’un budget de £20 milliards et devant déterminer les politiques d’entreprises, régulation, éducation supérieur, sciences et compétences.